Ernestine, que je connais comme ma poche, se sent en ce début d'année comme au bord d'une falaise : le temps est clément, le paysage superbe, l'abîme profond mais les vents porteurs, et les ailes qu'elle s'est toujours sentie mais dont elle ne s'est pas encore vraiment servie vont enfin lui permettre de partir à l'aventure. En outre, de retour au nid après avoir découvert des contrées lointaines, en cas de panne sèche durant les heures d'écriture, elle sait pouvoir compter sur ses ailes pour y extraire une plume neuve et alerte, encore pleine de vent.
C'est décidé, elle se met à l'écoute des autres pour de bon. Elle adore ça, écouter, raconter, apprendre, comprendre, échanger, écrire et faire plaisir.
Elle aimerait vous dire un mot, aussi lui laissè-je dorénavant la parole.
Bon vent à tous et surtout à toi, Ernestine ;-)
A bientôt,
Marie
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